Cohabiter avec le vivant
Lundi 15 janvier au vendredi 19 janvier, Pavillon SICLI, Petit dôme, Genève
Quelle place accorder aux animaux et aux végétaux en ville ? Cette question se pose aujourd’hui avec acuité mais non sans paradoxe. D’un côté, les citadins témoignent d’un désir croissant de « nature en ville » et d’une plus grande intégration de la biodiversité à travers l’établissement de corridors et de trames écologiques (vertes, bleues, noires). D’un autre côté, l’urbanisation du monde conduit un certain nombre d’insectes indésirables et d’animaux sauvages à coloniser les villes, exposant leurs habitants à des risques sanitaires majeurs (comme la zoonose du COVID-19). L’accueil inconditionnel de tous les êtres vivants pas plus que leur rejet radical ne semble constituer un scenario viable pour l’avenir des villes.
Voir Aussi
page actuellement en chantier, merci de revenir plus tard.
page actuellement en chantier, merci de revenir plus tard.
Vers une gestion durable et inclusive des communs urbains vivants
Le projet Faire commun a pour objectif d’évaluer de manière collective et sensible les communs urbains et vivants du domaine de Rigot. L'équipe interdisciplinaire veut co-construire des approches innovantes et participatives engagées socialement et écologiquement. L‘approche par les « communs » introduit un autre mode de gestion des ressources qui met équité et durabilité en premier plan.
Equipe de recherche : Laurence Crémel (HEPIA) ; Charlotte Chowney (HEPIA) ; Maëlle Proust (HEPIA) ; Marianne Guarino-Huet (HEAD) ; Olivier Desvoignes (HEAD)
Partenaires :
L'Office cantonal de l'agriculture et de la nature (OCAN)
AMO Rigot
least [laboratoire écologie et art pour une société en transition]